tag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.comments2022-03-31T14:24:03.670-07:00Cineklectic2Cineklectic2http://www.blogger.com/profile/16955901651527569418noreply@blogger.comBlogger8125tag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-32021942810122650052012-01-03T10:08:52.300-08:002012-01-03T10:08:52.300-08:00Merci pour ce commentaire. ça évitera que je dise ...Merci pour ce commentaire. ça évitera que je dise des conneries. J'ai vu ce film à Deauville, il y a quelques mois mais ça n'excuse en rien ses lacunesCineklectic2https://www.blogger.com/profile/16955901651527569418noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-78609768979180886772012-01-03T08:48:29.454-08:002012-01-03T08:48:29.454-08:00Père d'un garçon ordinaire???
Plutôt une fille...Père d'un garçon ordinaire???<br />Plutôt une fille atteinte de surdité non?<br />à se demander si vous avez vraiment vu le film, ce qui est dommage pour quelqu'un qui se prétend critique !!!julienhttps://www.blogger.com/profile/09535675346207982362noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-12830740842306739422011-09-05T03:40:27.721-07:002011-09-05T03:40:27.721-07:00Bouleversée : j'ai écrit
L...Bouleversée : j'ai écrit<br /> L'OISEAU TORCHE<br /><br /><br />Je ne peux pas.<br />Je ne veux pas.<br />Vous êtes toujours là.<br />Vous êtes avec moi.<br />Toujours et partout.<br />Souterrains<br />En vain,<br />Verdâtres et gris<br />Clair-obscur de ma vie.<br />Que mon âme surexposée craquelle. <br />Redonnez-moi mes ailes.<br />Pour vous libérer de moi. <br />Pour me libérer des émois.<br /><br />Vos histoires sont en ma chair, esprit, cœur.<br />Elles m'écœurent<br />A vomir de la merde.<br />Il n'y a pas un millimètre d'épiderme <br />Qui ne ressente ce que vous êtes, sans trembler,<br />Sans vous aimer.<br /><br />Mes yeux sont secs et je suivrais votre dignité, <br />Vos valeurs d'humanité.<br />Je ne le veux pas<br />Je suis vers vous, là?<br />Vous avez toujours une longueur d'avance.<br />Je vais m'aider d'une lance.<br />Mettre la vitesse en puissance.<br />Et me confronter, me fritter,me frictionner <br />A vos histoires enclavées.<br />Encore et encore.<br />Corps à corps.<br /><br />Que puis faire?<br />Que puis-je taire?<br />Regardez de l'autre côté?<br />Ne pas vous voir, ni vous entendre, <br />Ni sentir votre présence : à tendre, <br />Chaque muscle, pore et souffle.<br />Alors que toujours et toujours enfle <br />Soudainement la peur. <br />Je suis en sueur.<br /> <br />Et vous m'envahissez.<br />Je vais vous affronter. <br />Devenir aussi insensible que la pierre.<br />Aussi forte que la mer.<br />Aussi impassible que la mort.<br />Aussi imprenable que le fort.<br />Je vais résilier le contrat.<br />Je suis le rat<br />Qui s'emmure<br />Sans autre forme de procédure.<br /><br />Je veux être en résilience<br />Je veux être l'alliance<br />Entre mes congénères et votre monde<br />Tourne, tourne la ronde.<br />Je veux vivre en paix<br />Laissez moi, s'il vous plait.<br />Tournez-vous, aveuglez-vous, <br />Taisez-vous, desséchez-vous dans l'âtre.<br />Vous, qui avez cette force inouï, de vivre avec vos cauchemars verdâtres, <br />De souterrains gris,<br />Je fuis.<br /><br />Tu rêves de mettre le feu à un oiseau.<br />Vole : l'oiseau.<br />C'est une torche filante.<br />Dans toute cette fiente.<br /><br />Ma fausse joie,<br />Ma fausse moi,<br />Mon faux rire d'académie.<br />Bien fol qui s'y fît.<br /><br /> Après « Le Pain Noir » au Fanal à St Nazaire.<br /> Nous devions voir une intrigue avec Bacri...<br /> Le 04/09/2011 avec Michel et Christine.<br /><br /> Véronique DEBRAYcannellehttps://www.blogger.com/profile/05093663048798625822noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-15070024249726163082011-04-03T09:40:16.768-07:002011-04-03T09:40:16.768-07:00Point fort du 21ème festival espagnol de Nantes 20...Point fort du 21ème festival espagnol de Nantes 2011. Magnifiques prises de vue sur la cruauté des guerres civiles. Hallucinante minute de ce cheval sacrifié ! Ensuite, on est baladé un sacré bout de temps avant d'y voir clair... Heureusement, il y a ce petit incarnant la lucidité. Ses grands yeux d'enfant découvrant l'indicible, son expression observatrice commencent à entêter. "Mourir pour des idées, l'idée est excellente"...Agusti Villaronga décrit le conditionnement familial par petites touches, pour en arriver au mouvement du coeur irrépressible. Ou comment l'on vient à bout du carcan obscurantiste quitte à passer pour un renégat. Un bon coup de balai sur toutes ces croyances idiotes qui font le lit des oppresseurs ! Audace qui, à notre époque frileuse de réfugiés dans le bipartisme, devrait déclencher la polémique, d'autant que histoire n'est faite que de ces sursauts !Luciole 44https://www.blogger.com/profile/17378609416089076856noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-16590525614549459432011-03-31T14:41:08.420-07:002011-03-31T14:41:08.420-07:00Il n'y a rien de surprenant, à part la norme.
...Il n'y a rien de surprenant, à part la norme.<br /><br />C'est sur mon ptit blog La couleur du Lait Menthe que tu as lu ça ou alors ça fait trop de coïncidences,<br />un grand plaisir de voir que ce film est encore en "tournée", <br />qu'il éveille, décloisonne le plus de consciences possible, ou à minima provoque un débat.Alinoehttps://www.blogger.com/profile/00941962520880170991noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-85233149411263833672011-03-31T10:32:56.049-07:002011-03-31T10:32:56.049-07:00"Ce n'est pas du Ken Loach bien sûr, mais..."Ce n'est pas du Ken Loach bien sûr, mais le film se donne les moyens pour arriver à ses fins. Et ça marche. Alors, l'ensemble est très produit, précisément orchestré, souligné de violons et tambours dramatiques, bref une comédie dramatique gros budget sur sujet sensible. Mais n'en faut-il pas ? L'œuvre est accessible, et sert son message jusqu'au bout, par une mise en scène bien pesée. De plus, il nous est donné le plaisir de retrouver deux acteurs toujours efficaces : Gael Garcia Bernal, bien connu du public hexagonal, et surtout Luis Tosar, l'homme aux Goya. Pas leur plus grande prestation, mais servir le personnage avec un minimum de talent devrait être obligatoire."<br /><br />Rien à rajouter, tu as tout dit ! <br />Tambien la lluvia m'avait bouleversée, au point d'écrire une chronique directe en rentrant chez moi (qui a été diffusée lors de l'émission sur le communisme au 21eme siècle, si c'est pas bien orchestré, ça !), même si effectivement c'est blockbuster, manichéen à fond les manettes,...Mais ça fonctionne, le message est fort.<br /><br />(c'est Diane!)Babycakeshttps://www.blogger.com/profile/14943646830714615369noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-58532206006260440012011-03-30T09:46:31.633-07:002011-03-30T09:46:31.633-07:00M.Le Général
Lors de votre longue carrière, il vo...M.Le Général<br /><br />Lors de votre longue carrière, il vous est arrivé d’être à coté de la plaque. Prenons l'exemple de Mai 68 mais vous méritez un respect relatif tout comme votre opinion concernant Kubrick. Cependant, ne vous méprenez pas sur mes opinons, je ne fais pas partie de ses personnes qui se branle sur les "œuvres" de Duchamp. Ce que je demande, c'est de revoir Kubrick à la lumière de 2011. L'imperfection est une façon d'éviter de clore un débat (2001 réponds parfaitement à ses attentes) et d'enfermer à double tour une œuvre. Revoir à chaque fois le même film est un signe de fainéantise ou plutôt une manière de se soumettre à une façon de voir les choses.Se soumettre à Ciment, non merciCineklectic2https://www.blogger.com/profile/16955901651527569418noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1698277320328135396.post-38825418825234229332011-03-30T03:23:12.112-07:002011-03-30T03:23:12.112-07:00Vu que vous souhaitez qu'on porte attention à ...Vu que vous souhaitez qu'on porte attention à votre manque d'intérêt pour Kubrick, venons-en aux fâcheries : si l'univocité d'Orange Mécanique vous dérange (mon petit chéri), préférez-lui l'ubiquité de 2001 alors.<br />L'imperfection qui ouvre un champ de réflexion infinie me gonfle par cette prétention camouflée par la fainéantise. J'aime l'artiste qui travaille et contrairement à ce vos présomptions, Kubrick was a hard worker. Des années pour préparer un film, rabâcher chaque détail jusqu'à la campagne de pub. Vous préférez la posture des glandeurs de l'Art Contemporain qui ne se contentent que d'un idée, industrialisant ainsi Duchamp ? Je leur préfère les trois ans de Michelangelo passés sur le plafond de la sixtine.<br />Votre décret "négation de l'acteur" peut difficilement faire face aux interprétations hautes en couleur de Sellers, Mac Dowell ou Nicholson qui carburent de joie à faire leur métier et cela se voit à l'écran. L'on peut comprendre néanmoins que le jeu "underplaying" de Cruise dans Eyes Wide shut" vous apparaisse une négation de l'acteur, mais à coté on a la Kidman qui brille...L'on peut comprendre que dans Barry Lyndon, le beau rôle est plus donné au décorateurs, costumiers et à la lentille qu'aux personnages, sans cesses raillés par le narrateur dans la première partie, mais lorsque ceux-ci entrent dans le drame de la deuxième partie, ils se font plus profonds et incarnés (le duel de la fin concernant les rapports beau-père/fils est très anxiogène, désolé pour vous si vous êtes allergique à cette dramaturgie-là).Le Généralhttps://www.blogger.com/profile/11090805443269304708noreply@blogger.com